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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 15:26

2013-10-29-Le-Monde.-La-Bretagne-constate-l-ingratitude-du-.JPG

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:35
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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 15:00

 

 

 

 

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 12:16

 

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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 11:01
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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 18:56

(paru dans Ouest-France le 11 septembre 2010)Par Marc LE FUR, Député des Côtes d’Armor,

Vice-président de l’Assemblée nationale

Lorsque la Politique Agricole Commune a été créée, elle était étudiée pour répondre à une logique de développement et à un marché dont on connaissait les comportements. Les éleveurs laitiers savaient qu’ils pouvaient compter sur un revenu modeste mais quasiment garanti ; les éleveurs de porcs connaissaient quant à eux leurs contraintes liées au cycle du porc et menaient leur trésorerie en fonction.

Le marché s’est mondialisé et connaît des crises immaitrisables. La PAC s’est-elle adaptée à cette évolution inconnue et imprévisible de l’environnement économique ? Non. La lourdeur de cette politique commune nous conduit aujourd’hui à des paradoxes intolérables. En pleine flambée des prix des céréales, la PAC continue à donner des primes aux céréaliers dont les prix sont très rémunérateurs alors qu’elle délaisse des éleveurs qui auraient besoin de primes pour palier l’explosion du coût de l’aliment sans augmentation des prix.

Pour réguler, ne faudrait-il pas que l’Union européenne plafonne ces aides afin qu’à partir d’une somme, 100 000 euros par exemple, celles-ci bénéficient à d’autres ? La Reine d’Angleterre bénéficie d’un millions d’euros d’aides de la PAC pour ses seules terres d’Angleterre, sans l’Ecosse !

Nous devons constater l’inaptitude de l’Europe à s’adapter aux circonstances. Aujourd’hui, l’Europe maintient ces aides aux céréaliers alors que le prix des céréales a rarement été aussi élevé et laisse les éleveurs s’enfoncer dans la crise. L’Union européenne ressemble de plus en plus à sa caricature : un dinosaure dont les mouvements sont de plus en plus lents alors que l’évolution de l’environnement économique mondial nécessiterait agilité et rapidité.

L’Europe agricole a avant tout besoin de régulation, mais qu’est-ce que la régulation si ce n’est l’adaptation aux circonstances ? Les Etats-Unis sont beaucoup plus réactifs et régulent avec beaucoup plus de talent. Il faut que l’Europe régule ses marchés agricoles en s’adaptant rapidement à des cycles économiques de plus en plus brefs et désordonnés. Or, aujourd’hui, l’Europe, trop lourde, ne le fait pas. Paradoxalement, ce sont les Etats Nations qui doivent inventer des dispositifs fiscaux destinés à réguler les cycles économiques agricoles. Or, ce n’est pas le rôle de la fiscalité des Etats-Nations qui, au contraire, devrait être la plus stable possible pour répondre aux exigences de la monnaie unique.

La Politique Agricole Commune ne pourrait-elle pas se doter, dans un cadre financier constant, de fonds d’intervention qui lui permettraient d’éteindre un incendie économique avant que celui-ci ne prenne des dimensions ingérables ?

L’Europe a également besoin d’une régulation intérieure car elle ne maîtrise pas de nombreuses distorsions de concurrence, notamment entre la France et l’Allemagne, quant aux normes environnementales, au droit du travail ou à la fiscalité. Elle doit faire cesser cette concurrence déloyale qui handicape nos éleveurs et notre industrie agro-alimentaire.

Il faut changer cela. Cela implique de prendre à bras le corps la question de la refonte de la PAC. Dans le même esprit, le Président  de la République veut, avec raison, mettre à l’ordre du jour du G20, le  gouvernement du monde, la question des prix des matières premières et de leur nécessaire régulation. La question des matières premières ne peut être laissée aux seules spéculations et tradeurs.

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 15:47

Marc Le Fur, député des Côtes d’Armor, Vice-président de l’Assemblée nationale

Pourquoi faut-il mener la réforme des collectivités locales et de la Taxe professionnelle dès maintenant ?

Tout simplement parce qu’il y a urgence, que nous avons repoussé ces réformes pendant trop longtemps et, qu’au-delà des conservatismes naturels, il est de notre devoir de les mener au bout au moment où il faudra bien sortir de la crise. Comment va se vivre cette sortie de crise ? Cela va tout simplement être le lancement d’une nouvelle course internationale dans laquelle, comme en Formule 1, les places sur la grille de départ sont décisives. Pour être en « pôle position », il faut avoir remporté les essais et donc avoir bénéficié d’un stand technique irréprochable. En menant la réforme des collectivités locales et de la taxe professionnelle, c’est ce stand technique que nous réformons.

Quels sont les points majeurs de ce projet ?

Notre « mille-feuille » administratif n’est plus lisible parce que la loi a jusqu’ici rajouté des échelons administratifs sans en supprimer et sans clarifier les compétences. Toutes les collectivités peuvent s’investir dans tous les domaines. Les collectivités peuvent-elles tout bien faire et faut-il les inviter à se spécialiser ? Là est la vraie question. Lorsqu’une commune veut moderniser sa cyber-bibliothèque, elle fait le tour des partenaires qui peuvent s’investir sur le projet. Elle prépare donc un dossier pour la communauté de communes, un dossier pour le Pays, un dossier pour le Conseil général, un dossier pour le Conseil régional, un dossier pour l’Etat. Chaque partenaire va mobiliser un fonctionnaire pour traiter le dossier, vérifier que toutes les pièces nécessaires y sont et rappeler éventuellement la commune. Les dossiers vont mobiliser les élus dans chaque instance…

Chacun le constate, cela est trop compliqué et trop coûteux en fonctionnement alors que si la commune pouvait s’adresser à moins de partenaires, mais à des partenaires spécialisés qui donneraient plus, nous ferions tous des économies sans que la commune demandeuse ne soit lésée. Notre système est trop lourd et trop coûteux pour notre économie, qui, qu’on le veuille on non, est en concurrence avec d’autres pays sur le plan international.

Notre « mille-feuille » administratif, c’est aussi beaucoup d’élus dont nos concitoyens ne connaissent plus le rôle. Quand le citoyen ne sait plus qui fait quoi, c’est la démocratie qui recule. Voilà pourquoi nous proposons de créer, dès 2014, un Conseiller territorial qui sera à la fois Conseiller général et Conseiller régional. Simplifier notre « mille-feuille », c’est renforcer la démocratie.

Pourquoi mener de front cette première réforme et la réforme de la Taxe professionnelle ?

Parce que là aussi il y a urgence. François Mitterrand lui-même qualifiait la Taxe professionnelle « d’impôt imbécile »…  mais il n’a rien fait. Si nous voulons être en « pôle position » lors de la reprise économique, il faut alléger nos entreprises de ce poids handicapant. Pourquoi depuis 1990, nos entreprises françaises investissent-elles deux fois moins que les entreprises allemandes ou anglaises, sans parler des entreprises chinoises ou brésiliennes ? En partie parce que notre Taxe professionnelle ne les y encourage pas. Attendre pour faire cette réforme, c’est prendre le risque de prendre du retard impossible à rattraper dans la course internationale. Pourquoi déshabiller Paul pour habiller Pierre nous dit-on en craignant que les collectivités perdent des recettes fiscales ? Ce n’est pas vrai puisque l’Etat s’engage à ce qu’aucune collectivité ne perde de la recette dans cette réforme fiscale. Certes, la réforme ne permettra plus aux départements d’augmenter leur part de taxe professionnel de 13% comme cette année dans les Côtes d’Armor. Qui s’en plaindra ?

Je comprends qu’il y ait des résistances au changement. « L’immobilisme est en marche et rien ne l’arrêtera » disait Edgar FAURE avec beaucoup d’humour. Ceux qui font le choix de l’immobilisme pour la taxe professionnelle, prennent le risque d’affaiblir nos entreprises et donc l’emploi dont nous connaissons la capacité à se délocaliser.  Ceux qui font le choix de l’immobilisme dans la réforme des collectivités prennent le risque de favoriser la technocratie aux dépens de la démocratie.

 

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 15:31
Mercier1.JPG300 acteurs du monde rural étaient réunis jeudi 10 décembre au Foyer municipal de Loudéac à l’invitation des services de l’Etat pour tenir les Assises régionales des territoires ruraux. Ces Assises se sont tenues sous la présidence de Michel MERCIER, Ministre de l’espace rural et de l’aménagement du territoire, et en présence du Député Marc LE FUR. Après une introduction de Gérard HUET, Maire de Loudéac, et de Marc LE FUR, Vice-président de l’Assemblée nationale, les participants, élus, chefs d’entreprises, représentants de la vie associative, ont pu participer à trois tables rondes.

La première table ronde animée par Mme GRAVIERE-TROADEC, Secrétaire
générale aux affaires régionales, a traité des questions économiques. Louis PAUTREL, Maire du Ferré et Président de l’Association des Maires Ruraux d’Ille-et-Vilaine, a abordé la question des normes environnementales imposées dans les parcs économiques. Il a notamment fait remarquer combien ces normes obligent à consommer de la surface qui pourrait être de la surface agricole.

Lors de la deuxième table ronde sur les questions sanitaires et sociales, Véronique DELAITRE, Présidente des assistantes maternelles des Côtes d’Armor et membre du Conseil économique et social de Bretagne, a pu aborder la question de l’accueil des jeunes enfants, notamment lorsque les parents ont des horaires de travail décalés et atypiques.

Lors de la troisième table ronde, enfin, Michel GUEGAN, Maire de la Chapelle Caro et président de la première Communauté de communes de France, a abordé la question de la mise en place de projets de territoires sur le moyen terme.


Ces assises régionales ont été conclues par Michel MERCIER, Ministre de l’espace rural et de l’aménagement du territoire qui a pu notamment dire toute l’importance qu’il accordait à la mise en place du Haut-Débit, puis du Très Haut Débit Internet dans les territoires ruraux.
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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 11:39
Retrouvez Marc Le Fur dans "La Voix est libre" sur France 3 Ouest samedi à 11h30.

Marc LE FUR y répond aux questions d'actualité et évoque les sujets du moment : le Droit à l'Image Collective, les élections régionales, les langues régionales...
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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 09:44
Palmarès 2009 des préfectures

zoom

Parfois bien classée, parfois non, la préfecture de la Loire est notée selon le temps de réponse qu'elle impose pour la délivrance de documents administratifs


 

La concurrence est rude, même pour les services publics. Le député UMP Marc Le Fur vient de présenter son rapport annuel sur l'organisation territoriale de la France.

En fait, la mesure porte sur les délais de délivrance du permis de conduire, carte grise, carte d'identité, passeport électronique et permis de construire.

Il serait injuste de publier ces bonnes ou mauvaises notes sans commentaires.

En effet, on remarque vite que, souvent, les départements classés en tête de tableau sont peu peuplés.

On peut en déduire facilement que si la demande en documents est plus faible, la réponse peut alors être plus rapide.

Il faudrait aussi affiner ces résultats avec le nombre de fonctionnaires en poste. Mais nous ne disposons pas de ces données.

Dans la Loire, on sait que la densité en population n'est pas très élevée mais surtout que l'âge moyen, lui, est en hausse constante.

Voici donc le palmarès à lire avec des pincettes.

Pour le passeport électronique, la Loire s'octroie un joli 8e rang, avec 2 jours d'attente.

Pour une carte d'identité, c'est un 14e rang avec 3,67 jours d'attente.

La carte grise par courrier nous classe au 6e rang, avec 1,18 jour d'attente, tandis qu'au guichet c'est beaucoup moins bien : 26e rang, avec 18 minutes d'attente.

Le permis de conduire nous envoie au 77e rang, avec 15,15 jours.

Par comparaison, pour ce dernier document, la Lozère décroche le haut du tableau, avec un jour de délai, tandis que la Charente ferme la marche, avec plus de 50 jours.On ne trouvera nulle part la préfecture de Paris, qui n'a pas rendu sa copie.

Le député admet qu'il y a des différences de moyens entre les départements. Pour autant, il estime que l'efficacité est fluctuante.

Et le voilà qui pointe du doigt : « La qualité de l'organisation, le degré de motivation des agents et de l'engagement des supérieurs hiérarchiques ».

Le député va encore plus loin. Il suggère au ministre de l'Intérieur de diligenter une inspection et de remédier aux dysfonctionnements constatés par une répartition plus équitable des effectifs et une organisation plus efficiente.

À bon entendeur…

Yvette Granger

ygranger@leprogres.fr

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